Ki Ken Tai no Ichi (気⋅剣⋅体の一致) : unité (一致 ichi) de l’esprit (気 ki), du sabre (剣 ken) et du corps (体 tai). Principe fondamental de toute pratique martiale, Ki Ken Tai no Ichi est décrit dans le manuel Iaido de la fédération japonaise comme une pratique qui possède un esprit entier et utilise les […]
Kiri Oroshi (切り下ろし) signifie, littéralement, couper en abaissant le sabre. Durant cette coupe réalisée immédiatement après un Furi Kaburi, la pointe du sabre (Kissaki) effectue un mouvement pratiquement circulaire de haut en bas. Cette coupe se distingue d’une coupe en biais comme Naname.
Kiri Tsuke (切り付け), action de couper vers le bas (voire Kiri Oroshi).
Kirite (切り手), dans le cadre du Iaido, est la position de mains à adopter pour couper.
Koryu (古流) désigne les « écoles anciennes », ou les styles traditionnels. Dans le cadre du Iaido, l’étude d’un Koryu s’effectue au sein du dojo, en complément du ZNKR Seitei Iaido proposé par la fédération, mais qui n’est pas issu d’une tradition.
Metsuke (目付け) ou « poser son regard ». Position des yeux ou du regard.
Naname (斜め) signifie « diagonal ». S’utilise notamment de manière générique pour qualifier les coupes autre que Kiri Oroshi.
Noto (納刀) est l’action de rengainer le sabre dans son fourreau (Saya)
Nuki Tsuke (抜き付け) désigne l’action fondamentale de dégainer le sabre hors du saya (fourreau). Avec le noto (rengainé), le nuki tsuke constitue l’un des gestes essentiels qui définissent le iaido. Il se retrouve, sous des formes variées, dans tous les kata de la discipline. Le nuki tsuke s’effectue en coordination avec le saya biki (action […]
Nuki-age (抜き上げ) désigne l’action de dégainer le sabre vers le haut, en maintenant la lame proche de la poitrine. Ce terme fait référence à la séquence technique qui commence lorsque les mains saisissent la tsuka et amorcent la sortie du sabre, jusqu’au moment où le kissaki (pointe) quitte le koiguchi (bouche du fourreau). Le saya-biki […]
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